La lombalgie est une douleur abdominale qui se manifeste au bas du dos. Le mal de dos fréquent, généralement sans gravité, peut avoir de nombreuses causes. Cet article examine les raisons du mal de dos, les facteurs de risque et les recommandations de traitement et de prévention pour l’éviter.
Plan de l'article
Définition de la lombalgie
Les lombalgies, communément appelées maux de dos, tour de rein ou lumbago, sont des douleurs au niveau de la région lombaire. Cette douleur peut également s’étendre aux fesses et à l’arrière des genoux.
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Les lombalgies sont le plus souvent associées au monde du travail, avec un cas résultant de :
- 20% accidents du travail
- 7% maladies professionnelles.
On évalue que 2 salariés sur 31 ont souffert ou vont souffrir de mal de dos.
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Deux types de lombalgies
Il se décline deux types de lombalgie :
Lombalgie commune : Elle peut provoquer des douleurs légères à très intenses et est très courante : environ 60 % de la population adulte souffre de lombalgies. La prévalence est la plus élevée entre 55 et 65 ans.
Lombalgie symptomatique ou spécifique : bien que rares < 1 %, les erreurs diagnostiques ont des conséquences importantes et doivent être systématiquement évoquées. Pour en savoir plus sur les solutions pour améliorer votre hygiène de vie face à la lombalgie, visitez ce site internet docti-posture.com.
Maux de dos : les symptômes et les complications éventuelles
Les maux de dos surviennent souvent dans le cou et le bas du dos. Il s’agit généralement d’une douleur sourde et lancinante qui s’accentue lorsque vous bougez la colonne vertébrale ou lorsque vous toussez ou riez. Elles peuvent irradier vers vos bras et vos jambes. Les muscles du dos sont tendus. Dans la majeure partie des cas, s’allonger est plus facile, car cela soulage votre colonne vertébrale du poids de votre corps.
Cas de récidive
Cependant, plus d’un patient sur deux connaîtra une récidive dans un délai d’un an. La lombalgie chronique survient lorsque la douleur persiste pendant plus de trois mois malgré le traitement. On estime qu’elle désigne 10 % de cas de mal de dos.
Cela affecte toutes les activités de la vie et peut conduire à la dépression avec le temps. Les douleurs lombaires elles-mêmes peuvent également être causées par des complications, telles que le tassement d’une vertèbre dû à l’ostéoporose.
Options de traitement : alternatives et conventionnelles
Le traitement médical est mieux coordonné par le médecin, rhumatologue ou médecin de réadaptation. L’objectif est d’établir un programme de rééducation par l’exercice avec analgésie. La douleur doit d’abord être traitée par le repos. Il s’agit d’un élément de soin important.
Les activités quotidiennes comme la natation, la marche rapide et le vélo, sont aussi conseillées.
Les analgésiques et anti-inflammatoires sont également recommandés, tels que :
- paracétamol
- codéine
- kétoprofène
- corticoïdes.
La morphine peut être utilisée si la douleur causée par les maux de dos ne peut être contrôlée. Il existe également des soins conventionnels tels que :
- infiltrations rachidiennes de cortisone
- immobilisation par ceinture lombaire ou corset
- kinésithérapie basée sur le renforcement musculaire doux, massages décontracturants.
Traitement alternatif
Face aux restrictions des traitements conventionnels, davantage de personnes se tournent pour soulager la douleur vers des approches alternatives. Pour ne citer que :
- l’acupuncture
- l’ostéopathie
- la chiropratique
- la naturopathie
- la réflexologie.